Lindication principale, qui concernait 54,8 % des patients, mentionnait une maladie cardiovasculaire ou une chirurgie, pour lesquelles les pratiques mdicales avaient volu principalement de lanticoagulation et de la chirurgie aux techniques dintervention radiologique non invasives

Lindication principale, qui concernait 54,8 % des patients, mentionnait une maladie cardiovasculaire ou une chirurgie, pour lesquelles les pratiques mdicales avaient volu principalement de lanticoagulation et de la chirurgie aux techniques dintervention radiologique non invasives. PUS et contre elle loccasion dun dbat o Banoxantrone D12 saffrontaient le pour et le contre1,2. Mon objectif vise ici Banoxantrone D12 mettre en vidence dautres considrations, y compris certains rsultats cls dtudes rcemment publies, pour attirer lattention sur le dilemme clinique persistant relatif la PUS. Les deux facteurs de risque de SGI li au stress les plus communment cits sont la ventilation mcanique et la coagulopathie. Ces facteurs de risque sont mentionns dans une tude observationnelle mene auprs de 2252 patients des SSI. Dans cette tude, les chercheurs ont demand la suspension de la PUS, moins que le patient soit atteint dun traumatisme cranien, quil ait subi des br?lures thermiques importantes ou une greffe, quil ait souffert rcemment dun ulcre peptique ou dun SGI; finalement, 674 patients ont re?u une PUS et 1578 nen ont pas re?u3. La prsence dhypotension tendait tre significativement associe au SGI. Lindication principale, qui concernait 54,8 % des patients, mentionnait une maladie cardiovasculaire ou une chirurgie, pour lesquelles les pratiques mdicales avaient volu principalement de lanticoagulation et de la chirurgie aux techniques dintervention radiologique non invasives. Peu de patients avaient re?u un diagnostic de lsion du systme nerveux central, de septicmie, Banoxantrone D12 de traumatisme cranien ou de traumatismes multiples. La ventilation non invasive ntait pas systmatiquement utilise au moment de la publication de ltude. Par Banoxantrone D12 consquent, la lecture des rsultats de cette tude doit sinscrire dans le contexte de la population value, de lexclusion des patients prsentant des facteurs de risque et des changements aux pratiques mdicales qui ont eu lieu depuis leur publication. Revenons aujourdhui et la publication rcente dune mta-analyse portant sur huit tudes (116 497 patients), qui dmontre que la coagulopathie, le choc et la maladie hpatique chronique sont associs un SGI important sur le plan clinique, mais que la ventilation mcanique ne lest pas4. Les personnes en faveur de la PUS noteront que la plupart des tudes incluses dans cette mta-analyse y ont eu recours; il faut donc considrer ces paramtres comme des facteurs de risque lors de ladministration de cette prophylaxie. Les adversaires de la PUS souligneront quant eux le manque duniformit des tudes et ils voudront galement savoir si les facteurs de risque ? tablis ? sont vritablement connus. Alors que les objectifs de la thrapie se concentrent sur la mortalit, sur le SGI cliniquement important et sur les complications infectieuses, on prescrit communment la PUS sans se proccuper vraiment des avantages et des inconvnients de chaque agent. Lusage courant des antagonistes du rcepteur H2 de lhistamine (H2RA) repose simplement sur une tude randomise en double aveugle, qui a t mene auprs de 1200 patients ventils mcaniquement; celle-ci a rvl un taux moins lev de SGI cliniquement significatifs sous leffet de la ranitidine plut?t que de la sucralfate (1,7 % contre 3,8 %, = 0,02)5. Pourtant, une mta-analyse rcente incluant cette tude dcisive na trouv aucune diffrence de SGI cliniquement importante en prsence des H2RA et de la sucralfate, mais il y avait moins de pneumonie en prsence de la sucralfate6. Notons que la plupart des tudes incluses Banoxantrone D12 impliquaient ladministration des H2RA par infusion ou adaptation posologique pour obtenir des valeurs de pH gastriques suprieures 3,5-4. Ces deux aspects de ladministration du mdicament peuvent modifier le microbiome gastro-intestinal, ce qui augmente le risque dinfection dans une plus large mesure que ladministration conventionnelle et intermittente de H2RA. Les rsultats dune rcente mta-analyse nindiquent une SGI infrieure avec des inhibiteurs de la pompe protons (PPI) quavec des H2RA7; cependant, les rsultats taient influencs par deux tudes prsentant des lacunes mthodologiques. En revanche, les analyses pharmacopidmiologiques ont rvl des taux de pneumonie et dinfection de moins importants en prsence des H2RA; cela permet nouveau de penser que le degr dimportance de la suppression dacide contribue aux perturbations du microbiome8,9. Plus rcemment, une tude randomise en double aveugle et contr?le par placebo a Rabbit polyclonal to SPG33 mis en vidence des taux plus faibles de SGI cliniquement importants en prsence de pantoprazole (2,5 % contre 4,2 %, risque relatif 0,58;.

This entry was posted in Antiprion. Bookmark the permalink.